Ce mercredi 16 avril 2025 marque la sortie très attendue de l’édition collector du troisième tome de La nuit où les étoiles se sont éteintes, Ces prières que je fais dans le noir, coécrit par Nine Gorman et Marie Alhinho et publié chez Albin Michel. Affiché à un prix de 23,90€, le collector propose une édition reliée illustrée avec jaspage et fer argenté. Très bien accueilli par les lecteurs, ce tome poursuit l’exploration des blessures adolescentes et des liens brisés, tout en soulevant des questions sur la violence émotionnelle, avec une intensité qui ne laisse pas indemne selon les différents avis publiés à son sujet. Par ailleiurs, un quatrième tome, Ces promesses qu’on croyait éternelles, a d’ores et déjà été annoncé par l’éditeur.
L’arrivée en librairie du collector de Ces prières que je fais dans le noir
Disponible dès aujourd’hui au prix de 23,90€, l’édition collector de Ces prières que je fais dans le noir mise sur un format qui devrait plaire : couverture rigide, jaquette avec fer argenté, jaspage et illustrations inédites. De quoi séduire le lectorat en recherche de belles éditions, le tout dans un marché où les collectors font de plus en plus figure d’événement.
Le livre, sorti initialement en janvier 2024, s’inscrit dans une saga déjà culte auprès des lecteurs young adult francophones. Ce tome 3 recentre la narration autour de Jaeger, un personnage secondaire des tomes précédents, désormais propulsé au cœur du récit.
Un troisième pour la justesse de ses personnages mais avec une mise en garde pour les lecteurs
La réception critique du roman a mis en avant l’intensité émotionnelle de l’intrigue et la sincérité du traitement psychologique des personnages. Plusieurs avis de lecteurs soulignent la qualité de l’écriture de Nine Gorman et Marie Alhinho, capables de saisir la violence des émotions adolescentes avec une grande justesse. La citation mise en exergue par l’éditeur en dit long sur l’ambiance du récit : « c’est peut-être pour ça qu’on pleure si fort, parfois : pour empêcher notre coeur de s’arrêter une bonne fois pour toutes.»
Pourtant, cette intensité a un revers : certains lecteurs ont été déroutés par la dureté de plusieurs scènes. La question se pose alors : jusqu’où peut-on aller dans les récits destinés aux 16-20 ans ? Si le réalisme est salué, il n’est pas anodin que plusieurs personnes aient recommandé de ne pas mettre ce livre « entre toutes les mains ».
L’annonce du tome 4, Ces promesses qu’on croyait éternelles, également dans le catalogue Albin Michel, témoigne dans tous les cas d’un lectorat fidèle, prêt à suivre cette saga jusqu’à son terme, et ce quelles que soient les tempêtes émotionnelles traversées.
Livre également disponible sur d’autres points de vente pour le même prix : Cultura et Amazon.
