Depuis la sortie de Fourth Wing en France, puis d’Iron Flame, l’autrice américaine Rebecca Yarros s’est fait un nom sur les réseaux littéraires. Cependant, sur de nombreuses vidéos et posts publiés à son sujet, le mot “problématique” et “controverse” revient souvent.
Beaucoup de personnes se plaignent cependant de ne pas pouvoir retrouver d’informations concrètes au sujet de la controverse sur Rebecca Yarros. C’est pour cette raison que j’ai décidé de vous faire une synthèse à l’écrit de la vidéo que j’ai publiée sur Tiktok il y a quelque temps. Retour donc sur toutes les informations mises en avant pour dire que Rebecca Yarros est problématique.
Cet article a pour objectif de vous donner toutes les clefs pour comprendre la controverse autour de Rebecca Yarros. Vous êtes libre d’en tirer les conclusions que vous souhaitez et je ferai de mon mieux pour ne pas orienter mon opinion au fil des lignes.
Rebecca Yarros : une autrice particulièrement en vogue sur les réseaux littéraires

Avant de répondre à la question Pourquoi Rebecca Yarros est problématique ?, je pense qu’il faut comprendre l’ampleur de sa notoriété, raison pour laquelle elle est autant mise en avant. Cette autrice américaine est particulièrement populaire outre-Atlantique.
En 2014, elle avait été nommée pour le Goodreads Choice Award, dans la catégorie Debut Goodreads Author. Quelques années plus tard, en 2019, The Last Letter figure dans la liste des meilleurs livres de l’année de Kirkus Reviews.
Internationalement, c’est la saga Fourth Wing qui lui a accordé une telle notoriété. Le premier tome de la saga a été classé comme best-seller par plusieurs médias tels que le très prestigieux New York Times ou bien encore USA Today. Fourth Wing figure également dans la liste des best-sellers d’Amazon pour n’en citer que trois.
Pourquoi Rebecca Yarros est-elle accusée de sionisme ?
Lorsque l’on parle de la controverse autour de Rebecca Yarros, il y a un point qui fait écho avec l’actualité mondiale : les accusations de sionisme. Beaucoup de lecteurs à travers le monde indiquent ne pas vouloir lire de livres de cette autrice à cause de ses positions vis-à-vis d’Israël. Certains vont d’ailleurs plus loin en l’accusant de financer l’armée israélienne. Toutefois, la réalité semble bien différente.
Sur le sujet du sionisme et de Rebecca Yarros, plusieurs points sont à considérer :
- le fait que l’autrice continue de faire traduire ses livres en Israël ;
- son post Instagram au sujet de la situation à Gaza ;
- les prises de position de son mari.
Rebecca Yarros continue de faire traduire ses livres en Israël
Pour certains internautes, le point déterminant est que Rebecca Yarros continue de faire traduire ses livres en Israël. Certains y voient donc le signe d’un soutien envers le gouvernement du pays et une volonté de ne pas participer au boycott mis en place largement.
Une partie de la communauté de Rebecca Yarros lui a demandé de prendre position fermement en retirant ses livres du pays afin de montrer un soutien à la Palestine, et plus particulièrement à Gaza. Toutefois, l’autrice américaine ne semble pas être du même avis. Elle s’est exprimée à ce sujet en expliquant ne pas vouloir jouer au jeu de la censure en retirant ses livres du marché israélien.
Alors que certains ont été plutôt réceptifs à ces arguments, d’autres ont jugé inapproprié le fait de sous-entendre que les auteurs ayant décidé de se retirer du pays s’adonnaient à de la censure. S’agissant d’une geste fort et symbolique, ayant un impact financier pour les auteurs, beaucoup ont estimé qu’il était déplacé de la part de Rebecca Yarros d’inverser les rôles en pointant du doigt ces auteurs-là.
Le post Instagram de Rebecca Yarros qui a mis le feu au poudre
Dans l’histoire de la controverse autour de Rebecca Yarros, c’est également un post Instagram qui est régulièrement mis en avant. Ce post commence avec une première slide écrivant “Les enfants ne sont pas des dommages collatéraux”.
Dans ce post-là, elle explique réagir au harcèlement et à l’apparition de fausses informations à son sujet, et surtout au sujet de “ce qui se passe dans le monde”. En soi, elle tente de prendre position via ce post, mais les arguments qu’elle va amener et la façon dont elle va tourner le post vont beaucoup déranger.

En outre, beaucoup lui reprochent que, dans la première version de ce post, elle n’a, à aucun moment, citer la “Palestine”, même si elle tentait de montrer sa prise de position à travers ses mots.
Le post Instagram, qui a été édité depuis, la présentait tout de suite comme la victime de cette situation. Elle va très rapidement mettre en avant un argument pour valider le fait qu’elle ne peut pas être accusée de pro-génocide. Pour cela, elle va écrire notamment “Pour quelqu’un dont le grand-père a survécu des camps de concentration et a souffert de toute sa vie du traumatisme de la torture, je trouve vos accusations fausses, mais également personnellement insultante”.
Ce genre de mécanisme de défense reste partiuculièrement courant chez les personnes accusées de discrimination. Pour se défendre, elles vont alors mettre en avant ce qu’elle estime être un argument imparable, souvent résumé par l’image “ je suis pas …, j’ai un ami qui est …”.
Dans son post, elle va également évoquer son privilège blanc en disant “Ce débat ne devrait pas se concentrer sur ma voix de blanche privilégiée …” pour introduire son propos. Cette façon de tourner son argumentaire a également beaucoup dérangé, car il n’est pas sans rappeler l’argument que beaucoup de personnes ont mis en avant pour se dédouaner d’une quelconque prise de position.
Beaucoup de personnalités publiques n’ont jamais exprimé explicitement d’opinion sur ce qui se passait dans le monde sous couvert de “je ne suis pas légitime pour parler”. Cependant, beaucoup de ces personnes-là seraient en capacité de faire bouger les choses grâce à leurs privilèges qui leur donnent un espace beaucoup plus conséquent pour s’exprimer publiquement.
Dans son message, elle évoque également le fait qu’elle préfère agir en faisant des dons plutôt que de s’exprimer. Certaines personnes lui ont alors demandé des preuves de ces dons, sans retour de sa part.

Comme je l’évoquais plus haut, il est important de considérer que son post initial a été édité et qu’elle a alors changé le wording pour s’adapter aux retours de sa communauté. Elle a ensuite employé directement le nom de Gaza et évoqué les conditions inhumaines des personnes se trouvant là-bas.
Les prises de position de son mari viennent peser dans la balance
Pour justifier le côté problématique de Rebecca Yarros, certaines personnes ont partagé un message de son mari, Larry Sprung, sur X (anciennement Twitter). Ce message du 27 octobre 2023 relate son expérience en tant qu’invité de l’équipe national d’Israël de Hockey pour sensibiliser l’opinion suite à l’attaque terroriste d’une synagogue cinq ans auparavant. Ce message, posté après le 7 octobre, est accompagné du hashtag #IStandWithIsrael.
Cet argument semble difficilement entendable pour juger Rebecca Yarros. Concrètement, il semble compliqué de lui attribuer la responsabilité d’un message pour son mari. Dans des échanges sur Threads, elle se défend d’ailleurs de ça en disant qu’elle n’était pas au courant.
Concernant son mari, j’ai vu certaines informations déformées à son sujet. Des internautes indiquent qu’il est militaire dans l’armée israélienne et qu’il participe donc au génocide en cours actuellement à Gaza. Toutefois, il s’agit d’une information erronée. Le mari de Rebecca Yarros est bel et bien militaire, mais dans l’armée américaine. Il a d’ailleurs servi en Afghanistan.
Update : au moment de publier cet article, j’ai passé en revue le compte Twitter du mari de Rebecca Yarros et ce tweet semble avoir été supprimé. À noter que la capture d’écran est disponible sur l’article que je vous mets en lien en fin d’article.
Le mot sioniste est-il vraiment pertinent dans ce cas de figure ?
Que ce soit sur Tiktok, Instagram, Threads ou autre, on constate une facilité à employer le mot sioniste. Beaucoup revendiquent le fait que Rebecca Yarros est sioniste, sans expliquer d’ailleurs les arguments derrière.
Je pense que le principal problème est que peu d’informations au sujet de la controverse de Rebecca Yarros sont disponibles en français, et qu’en plus de cela, les réseaux sociaux favorisent la propagation d’informations erronées, transformées au fil des posts.
Sionisme n.m. : mouvement politique et religieux, visant à l’établissement puis à la consolidation d’un État juif en Palestine.
Dictionnaire Le Robert
Le sionisme reste un terme complexe à définir, notamment car il peut prendre différentes formes et interprétations. Le sionisme va notamment prôner l’établissement d’un état juif et l’importance de la sécurité d’Israël face aux menaces intérieures ou extérieures.
Aujourd’hui, le terme sioniste va également inclure la volonté de coloniser des zones, participant à l’expulsion et à la marginalisation des Palestiniens. À noter que l’interprétation du terme sioniste peut prêter à débat, car certains réfutent l’aspect relatif à la colonisation, et estiment qu’il s’agit simplement de la nécessité d’un État juif.
Bien que Rebecca Yarros ne semble pas militer en ce sens, certains affirment tout de même que l’autrice américaine est sioniste. Pour eux, le fait qu’elle publie ses livres en Israël participe à enrichir le gouvernement et donc, par extension, à financer ses actions.
Les auteurs sont-ils obligés de prendre position sur le conflit israelo-palestinien ?
C’est la question qui fait débat quand le sujet de Rebecca Yarros et de sa controverse est mis en lumière : les auteurs sont-ils obligés de prendre position ? Dans les faits, c’est sa prise de position inappropriée qui fait autant débat. Certains avancent alors que les auteurs ne sont pas forcés de prendre position. Sur ce point, plusieurs détails sont intéressants à considérer.
Premièrement, soulever cette question vient à minimiser ce qui se passe en ce moment à Gaza. Certains reprochent à une grande partie du monde littéraire de vouloir fermer les yeux sur un génocide, en se cherchant des excuses et en réduisant les événements actuels à un simple conflit entre deux pays.
Par ailleurs, l’un des points à ne pas oublier à mon sens est que, même si cela ne s’est pas fait de la bonne façon, Rebecca Yarros s’est exprimée. Elle ne fait pas partie des auteurs ayant résolument garder le silence. Bien que son message ait été mal perçu, et ait été édité plusieurs fois, elle a tout de même posé des mots sur ce qui se passait auprès de sa communauté. La question de “les auteurs sont-ils obligés de prendre position” n’est donc pas pertinente dans ce cas précisément.
Rebecca Yarros : l’une de ses romances militaires suscite également la controverse
Lorsque l’on évoque la problématique autour de Rebecca Yarros, beaucoup évoquent son rapport à l’armée américaine. Sur ce sujet-là, encore, plusieurs points sont à analyser, comme notamment l’une de ses romances militaires, In the Likely Event, et sa vision de l’armée des États-Unis.
In the Likely Event : une romance militaire en Afghanistan qui fait polémique
L’un des points que je trouve majeur dans la polémique sur Rebecca Yarros, et qui est rarement mis en avant, c’est sa romance militaire In the Likely Event. Cette dernière a été analysée par un utilisateur de Goodreads (@readinghereandnow) qui en a fait un retour particulièrement complet.

Rebecca Yarros, par son entourage constitué de beaucoup de militaires, semble très attachée à la place de l’armée et à la notion de guerre. Elle va d’ailleurs dénoncer dans le post Instagram évoqué ci-dessus cette notion, en disant notamment “Je déteste la guerre sous toutes ses formes, et c’est pourquoi tous les romans militaires que j’écris traitent des innombrables façons dont la guerre nuit irrémédiablement aux populations.”
Le problème est que dans In the Likely Event, son regard semble être biaisé et envoie un mauvais message. Elle semble utiliser un langage bien spécifique pour parler de l’Afghanistan en le décrivant comme un pays intégralement déchiré par la guerre, au bord de l’effondrement. Elle va également parler des USA comme étant la solution pour ce pays, donnant une image de “sauveur”. L’utilisateur va par exemple citer l’utilisation de 11 fois le terme “zone de guerre” pour décrire le pays.
Certains ont du mal à percevoir le souci dans ce genre de narration. Il faut garder en tête qu’il a existé une forme de propagande visant à décrire l’Afghanistan comme totalement perdu et ayant irrémédiablement besoin d’une aide extérieure, et notamment de l’aide de l’armée américaine. La présence américaine, même si elle peut être vue comme positive sur certains angles, a eu également des conséquences négatives sur le long terme.
L’armée américaine a certes permis de renverser le régime taliban, mais ce dernier est revenu au pouvoir en 2021. Il serait compliqué d’expliquer toutes les conséquences de la présence américaine en quelques lignes. Néanmoins, la réalité est bien plus nuancée que ce que semble dépeindre Rebecca Yarros dans son livre.

Des prises de position apparemment dérangeantes sur l’armée
Au mois d’avril 2024, un tweet relate un fait sur Rebecca Yarros et son rapport à l’armée américaine. L’utilisateur @tinybookclub_ relate que, lors d’un événement, l’autrice a essayé d’expliquer à quel point elle était fière de venir d’une famille remplie de vétérans ayant combattu en Irak. Le souci étant que son auditoire était notamment constitué de musulmans et de personnes originaires du Moyen-Orient. Sa prise de parole aurait alors provoqué un lourd silence dans la foule.
Néanmoins, à part ce tweet, il n’y a pas d’autres informations au sujet de cet événement. Il semble donc compliqué de l’utiliser comme une preuve irréfutable de son regard baisé sur l’armée et sa vision du monde de façon générale.
Le regard de Rebecca Yarros est-il biaisé par son bagage culturel ?
Lors de ma vidéo sur Rebecca Yarros, certaines personnes ont soulevé le fait que Rebecca Yarros était simplement comme ça (par rapport à la guerre) car cela faisait partie de sa culture, et il faut comprendre ici “la culture américaine”. En Europe, cela peut néanmoins nous sembler difficile à aborder.
Aux États-Unis, les écoles vont par exemple inculquer une vision très patriotique et valoriser l’armée américaine. Dans de nombreux cas, comme cela peut l’être également en France, ce n’est qu’une vision partielle et simplifiée des conflits qui est livrée. Dans le cas des USA, le rôle positif des États-Unis va être mis en avant, toujours dans cette optique de patriotisme.
Le patriotisme étant particulièrement ancré dans la culture américaine, le manque de nuance reste un sujet important à considérer. Outre l’éducation en elle-même, la culture américaine tend à dépeindre l’armée des États-Unis comme positive. Cela passe par un traitement médiatique orienté, ou bien encore par la production d’œuvres (comme des films) glorifiant la présence militaire dans certaines zones du monde.
Rappelons également que, dans le cas de Rebecca Yarros, le biais se fait également avec l’entourage. Son mari, par exemple, a servi en Afghanistan. De fait, son regard peut être biaisé par l’expérience personnelle de son mari et elle retranscrit la vision d’une seule des parties concernées.
Néanmoins, toutes ces informations permettent de comprendre pourquoi sa vision peut être biaisé, mais ne justifie pas réellement le fait de participer à cela. En proposant une romance militaire incluant une vision erronée, avec pour objectif de glorifier l’armée, elle participe alors au processus visant à glorifier la présence de l’armée américaine au Moyen-Orient, sans considérer l’aspect négatif que cela implique.
Rebecca Yarros : qu’en est-il du problème de représentation dans ses livres ?
Un autre point majeur à citer dans la controverse au sujet de Rebecca Yarros, c’est toute la polémique autour de la représentation dans ses livres. Malheureusement, c’est aussi le point qui semble être le moins bien compris, notamment car la plupart des lecteurs ne voient pas le problème (généralement parce qu’ils ne sont pas concernés).
Je vous conseille de regarder toutes les slides du post Instagram ci-dessus qui résume la problématique avec de nombreuses captures d’écran.
Si l’on s’en tient aux retours des lecteurs, le problème va spécifiquement concerner le personnage de Xaden dans Fourth Wing. Rebecca Yarros a confirmé que ce personnage était racisé (POC en anglais). Toutefois, beaucoup de lecteurs remettent en question les termes employés pour la description de ce personnage.
Dans les faits, Rebecca Yarros n’est pas la seule à être pointée du doigt à cause de descriptions trop brèves, qui empêchent de savoir précisément si un personnage est blanc ou non. Cela se traduit généralement par l’utilisation de qualificatif prêtant à confusion comme “bronzé” ou “foncé”. Malheureusement, beaucoup de lecteurs ne voient pas encore le problème de ce genre de procédé et peinent à remettre en question ces descriptions bien trop légères pour certains personnages (tous auteurs confondus).
L’utilisation controversée de la langue gaélique par Rebecca Yarros
Même si le roman Fourth Wing ne s’inspire pas du folklore écossais, Rebecca Yarros utilise tout au long de son livre des mots gaéliques, notamment pour nommer les dragons ainsi que pour un établissement.
Lors de son apparition à la New York Comic Con, l’autrice a donné une interview pour le site Popverse. À cet effet, on lui demande de prononcer les mots gaéliques utilisés dans le livre, et c’est là que les problèmes commencent.
Selon plusieurs personnes parlant le gaélique, dont Muireann (voir la vidéo), les tentatives de Rebecca Yarros pour prononcer correctement les mots se révèlent peu fructueuses. Les personnes concernées se sont senties offensées du fait que, malgré les retours, Rebecca Yarros n’ait pas pris la peine de prononcer les mots correctement. Plusieurs personnes pointent du doigt la liberté que certains auteurs de fantasy prennent pour utiliser des langues peu parler, et les accommoder à leur façon.
Pour certains internautes, il aurait suffi que Rebecca Yarros s’excuse et fasse l’effort de prononcer correctement les mots utilisés. Toutefois, l’autrice ne semble pas avoir réagi aux sollicitations.
L’engagement de Rebecca Yarros via son association OneOctober
Bien que cet article se focalise sur la controverse autour de l’autrice Rebecca Yarros, il me semble également important de rappeler son engagement. Rebecca Yarros et son mari ont joué le rôle de famille d’accueil pour une petite fille non verbale et ayant des troubles du spectre autistique. À la suite de cet accueil, l’autrice et son mari ont décidé de l’adopter.
Cette expérience en tant que famille d’accueil a permis à Rebecca Yarros de prendre conscience du système américain de placement d’enfants. Elle et son mari ont alors décidé de créer leur association afin d’améliorer les conditions de vie des enfants dans le système d’accueil américain. Cette association a été nommée OneOctober (située à Colorado Spings), en référence au mois d’octobre, mois au cours duquel ils ont accueilli leur fille. À noter toutefois que le site internet de l’association ne semble pas avoir été mis à jour depuis 2021.
Liens vers l’article mettant les screens des contenus évoqués : cliquez ici.
Sources utilisées pour cet article : The National Scot, TheExpertBookSmuggler (patreon et instagram, lien ci-dessus et post intégré dans l’article), Ceartguleabhar (vidéo intégrée), Distractify, Reddit, Goodreads, compte instagram de Rebecca Yarros, Wikipédia EN, OneOctober, retours des usagers sur Threads et Tiktok.
Je précise que j’ai cité dans les sources les différentes plateformes qui m’ont permis d’écrire cet article. J’ai pris le parti de citer des réseaux comme Reddit, Threads et TikTok. Même si l’opinion des internautes ne constitue pas des « preuves » de la controverse, j’ai lu des centaines de messages pour comprendre ce que les gens lui reprochaient et, par conséquent, rechercher les informations à l’origine de ces polémiques.